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La vitesse du cheval dépend principalement de ses allures. De la moins rapide, le pas, à la plus rapide, le galop, il existe plusieurs modes de déplacement. Comment ça marche ?
La vitesse du cheval dépend principalement de ses allures. De la moins rapide, le pas, à la plus rapide, le galop, il existe plusieurs modes de déplacement. Comment ça marche ?
Le pas est la plus lente des allures. Elle est marchée, symétrique et à quatre temps égaux. Sa vitesse est générallement de 6 km/h.
Le trot est sauté, symétrique, à deux temps égaux. Chaque battue des bipèdes diagonaux est séparée d'un temps de projection. La vitesse du trot dépend des races. En moyenne, elle élève à 15 km/h.
Le galop est sauté, dissymétrique, à trois temps inégaux, suivis d'un temps de projection. Sa vitesse est d'environ 25 km/h, mais elle peut dépasser les 60 km/h sur les champs de courses.
Ces trois allures sont dites naturelles car le cheval les exécute spontanément. Certains ajoutent à ces trois allures le reculé et la phase de saut.
D'autres allures peuvent être acquises par le dressage du cheval.
Le passage : le cheval soulève fortement ses membres, en avancement doucement.
Le piaffer : le cheval trotte sur place.
Ses deux allures, impressionnantes, sont souvent réalisées sur les carrés de dressage. Elles sont qualifiées d'allures artificielles.
Enfin, il existe des allures défectueuses.
L'amble : le cheval lève le bipède latéral gauche puis le bipède latéral droit.
Le tölt : c'est une spécificité du poney islandais, cette allure est marchée et se décompose en quatre temps.
L'aubin : le cheval galope des antérieurs et trotte des postérieurs.
Le traquenard : il s'agit d'un trot désuni, les pieds du même bipède diagonal ne se posent pas en même temps.